Alors l’euro… ben c’est l’euro…

1.03. C’est le cours EUR/CHF. Et ce cours illustre bien que rien ne va. Ça ne fait que descendre et le trend continue de tanguer méchamment vers la parité. Alors bien sûr il reste la Grèce (ah bon?) qui reste un sujet soi-disant brûlant. Varoufakis vocifère tant et plus et les Grandes Pontes de notre monde ne cessent de crier au loup. Mais à force de crier, qui écoute encore? Cela fait tant de temps qui rien ne se passe, que des solutions de bricolage sont avancées à moins cinq… juste avant que tout ne s’effondre. Un peu lorsque Goldorak intervenait pour sauver la planète bleue alors tout espoir était perdu.

Et maintenant c’est du côté des castagnettes que le monde s’est tourné. Podemos confirme ce que Syrisa est devenu. Un empêcheur furieux de tourner en rond qu’on essaie par tous les moyens de calmer, de castrer, de faire taire. Mais ça ne marchera pas. Car la machine est lancée et petit à petit, aux quatre coins de l’Europe, de petits feux de camp sont allumés. Certes ce ne sont que de minuscules flammettes pour l’instant. Mais lorsqu’elles se rejoindront, nous assisterons alors à un grand feu d’artifice.

D’ailleurs, il n’y a qu’à prendre exemple sur ce qui est en train de se tramer à la Fifa. Sepp n’a qu’à bien se tenir. Il illustre à lui seul l’avenir réservé à ceux qui s’entêtent dans la bêtise. A ceux qui se forgent une telle barrière intérieure en se persuadant de leur bon sens qu’ils en oublient les autres. Et les autres dans ce cas-ci, c’est la justice américaine. Et là ça fait mal. Car le brave Seppi, habitué à tout manipuler, à contrôler, à couver chaque info, n’a cette fois-ci rien vu venir. La déchéance d’un dirigeant, ou d’un système, finit toujours par exploser d’une manière inattendue. Et toujours où on ne l’attend pas…


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